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USA: IL FRACASSE LA MÂCHOIRE D’AARON BOUPENDZA

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L’international gabonais Aaron Boupendza, a été envoyé au tapis, la mâchoire broyée.

Présent dans un bar huppé  de l’Ohio, le Rusconi Bar & Kitchen de Cincinnati, dans le but de passer une belle soirée, Aaron Boupendza a été envoyé au tapis par un boxeur américain au coup de poing dévastateur. L’affaire a été rapportée par un média québécois, Journal de Montréal. Il est 2 heures du matin alors que l’ambiance dans l’établissement est à son paroxysme, lorsqu’une bagarre terrible éclate entre le feu follet de Cincinati et  Quashawn Toler, un coriace boxeur professionnel mi-moyen de la région. Ce que Boupendza ignore c’est qu’il a affaire à un boxeur qui possède une sacrée carte de visite.  12 victoires par K.O en   17 combats. Quashawn Toler règle l’affaire en quelques secondes, à la façon Mike Tyson. C’est son 13ème KO. L’expérimenté boxeur est sans pitié pour le natif de Moanda. Puissants et précis, les coups assénés par le boxeur américain font mouche. Pris de vitesse par l’avalanche de coups, Boupendza  n’a pas le temps de riposter. C’est avec une mâchoire réduite en miettes que le buteur gabonais sort dans ce bar chauffé à blanc.  

Il sera absent des terrains pendant six à huit semaines 

Fêtard et instable, Aaron Boupendza mène désormais une vie turbulente et désorganisée. Il n’est plus le garçon timide et affable qui jouait en D2 du CF Mounana dans les années 2013-2014, qui traversait tout le terrain et allait se jeter dans les bras d’Hervé Patrick Opiangah, quand il avait marqué un but.  Il est passé des pages sport à la rubrique faits divers après une soirée bien arrosée. Il multiplie les frasques même sur les réseaux sociaux comme celle qui a provoqué son exclusion de l’équipe nationale. 

Le FC Cincinnati a averti dans un communiqué que son joueur sera indisponible pendant six à huit semaines en raison d’une fracture de la mâchoire. Boupendza serait désormais sur un siège éjectable. Le club de Cincinnati commence à râler face aux dérapages du buteur gabonais.

 

Par Pamphile EBO

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